Ce qu’il fait pour l’environnement

Ce qu’il faut savoir, c’est que le développement durable est axé sur 3 points essentiels : la société, l’économie et l’environnement, mais l’environnement a le mérite de primer sur les autres puisqu’il englobe tout ce qui a trait à la vie.
En effet, l’utilisation de ce principe dans un local et/ ou une communauté donnés induit la protection de la biodiversité en son sein, incluant aussi bien les espèces animales que végétales. De toute évidence, l’adoption d’une politique de développement durable constitue le seul terrain d’entente pour rallier à la fois développement économique et social, et protection et réhabilitation de l’environnement.
Il ne faut surtout pas oublier que toutes les ressources que l’on utilise aujourd’hui sont fournies par la nature et aucun projet, quelle que soit son envergure, ne vaut la destruction qui peut s’avérer permanente de l’environnement, pour combler un besoin économique ou social temporaire.

Ce qu’il fait pour la société

La société d’aujourd’hui connaît une grande évolution par rapport à celle d’antan avec notamment le développement de la technologie et de l’électronique. Mais cette avancée a un prix qui est malheureusement la nature et ce qu’elle héberge. C’est là qu’intervient le développement durable en vue de limiter les dégâts et contrôler les pertes.
Ce concept nouveau de développement durable implique effectivement de répondre aux besoins du présent sans pour autant compromettre la capacité à réaliser ceux du futur. En d’autres termes, les actions du présent ne doivent en aucun cas priver les générations à venir d’avoir la possibilité de profiter elles aussi de la nature et des ressources dont elle regorge.

Un soutien direct à l’apiculture locale

Le secteur apicole français compte aujourd’hui 62 744 apiculteurs déclarés. Ces derniers gèrent 1,8 million de ruches et sont à l’origine d’une production record de miel de 31 387 tonnes en 2022. C’est sans compter les produits dérivés à l’instar de ce que fait la Famille Mary : en plus du miel, on trouve dans son catalogue des produits cosmétiques, des gâteaux, du pollen, etc. Cette industrie locale crée un effet multiplicateur économique remarquable : chaque euro que vous dépensez en miel local circule de nouveau à 45% – 48% dans l’économie locale. A titre de comparaison, il est de 14% pour les chaînes commerciales importatrices, ce qui est normal, car l’argent revient dans le pays d’origine du miel.

Des prix justifiés

Les professionnels de l’apiculture française (environ 2 000 apiculteurs de plus de 150 ruches) produisent plus de 60% du miel national. Le miel local français coûte entre 25% à 42% de plus que le miel importé, mais cette différence est justifiée. Notez également la présence de spécialités régionales comme le miel de Corse AOP ou les miels de lavande de Provence qui coûtent encore plus cher. Ces prix permettent aux 200 ruchers écoles du territoire de former continuellement de nouveaux apiculteurs.

Réduction de l’empreinte carbone

Les données de cycle de vie révèlent des différences d’impact carbone entre miel local et importé. Une analyse comparative suédoise montre que le miel local nécessite seulement 1,3 MJ/kg d’énergie contre 5,6 MJ/kg pour le miel importé, soit 76,8% de réduction énergétique.

Des études italiennes de terrain, sur six exploitations apicoles, confirment ces résultats. Une apiculture sédentaire locale génère entre 0,38 et 0,66 kg CO₂e (équivalent dioxyde de carbone) par kg de miel alors qu’une apiculture migratoire commerciale engendre entre 1,40 et 2,48 kg CO₂e par kg de miel. Il y a donc 77% d’émissions en moins.

Une autre étude, celle d’UC Davis en Californie, établit que les petits apiculteurs locaux génèrent entre 0,02 et 0,43 kg CO₂e par kg alors que les importations atteignent 0,67 à 1,4 kg CO₂e par kg. Le transport représente jusqu’à 47% des émissions totales. Pour chaque kilogramme de miel local consommé, l’économie de CO₂ atteint 0,68 à 2,05 kg CO₂e, ce qui représente une réduction de 60 à 95%.

Le choix du miel local est donc une initiative efficace pour réduire son impact environnemental.

Préservation de la biodiversité

En France, 80% des cultures dépendent des insectes pollinisateurs, dont 85% sont des abeilles. Les abeilles domestiques sédentaires s’intègrent mieux aux cycles naturels locaux et supportent la diversité florale régionale. Par ailleurs, l’apiculture française contribue à la conservation de la biodiversité grâce à la restauration d’habitats nécessaires aux ruchers : plantation de haies mellifères, maintien de prairies fleuries, et conservation des essences locales.

Que recouvrent les métiers de l’environnement ?

Le secteur de l’environnement est un secteur très large qui recouvre le développement durable, la prévention des risques industriels et naturels et la gestion des ressources naturelles. Ainsi, les métiers de ce secteur sont vraiment nombreux.

Paradoxalement, même si les métiers de l’environnement concernent la nature, la plupart d’entre eux s’exercent dans les bureaux notamment auprès du ministère de l’Écologie ou des ONG œuvrant pour la protection et la préservation de l’environnement. Il est également important de souligner que le secteur de l’environnement évolue sans cesse et voit naître de nouveaux emplois.

Comment se former aux métiers de l’environnement ?

Les métiers de l’environnement sont accessibles dès le niveau CAP ou bac professionnel. Cependant, les étudiants en environnement ont tendance à poursuivre leurs études jusqu’à obtenir un diplôme niveau BTS/BTSA pour exercer un métier dans le secteur de l’eau, de l’aménagement paysager ou des services à l’environnement.

Ceux qui en ont le courage continuent jusqu’au niveau bac+3 ou licence professionnelle afin d’acquérir des connaissances plus pointues dans la gestion de l’environnement ou le traitement des déchets.
Les formations en environnement ne s’arrêtent pas à ce niveau. Une fois votre licence professionnelle obtenue, vous avez la possibilité de continuer jusqu’au bac+5 et détenir un diplôme de mastère en management environnemental, droit de l’environnement, transition écologique et RSE, etc. Ce type de formation est octroyé par les écoles d’ingénieurs spécialisées en environnement comme ISE. Cette école propose des formations en présentiel, en alternance ou à distance. Vous pouvez sûrement y trouver un programme correspondant à vos envies. Si cela vous intéresse, consultez les différentes spécialités de mastères en environnement de l’école sur leur site internet.

Quel est l’intérêt d’un diplôme en écologie ?

L’écologie est l’un des parcours les plus révolutionnaires du moment. Il présente de nombreux avantages compte tenu de l’enjeu actuel de la préservation de l’environnement. En effet, la seule idée de participer à la contribution de l’établissement d’un monde meilleur procure une satisfaction inégalable. De plus, il s’agit d’un secteur en perpétuelle évolution.

Par ailleurs, œuvrer dans le domaine de l’écologie vous permet d’impacter des vies, dans la mesure où l’environnement naturel a un impact direct sur le bien-être humain, ce qui fait que la santé publique en dépend. Devenir spécialiste en environnement permet également de distribuer les ressources pour lutter contre la surpopulation et la faim.

La science environnementale présente un intérêt primordial pour permettre aux générations futures de vivre dans un environnement durable. Et c’est tout là l’enjeu de la carrière d’un spécialiste en écologie. Heureusement, ce parcours est davantage vulgarisé pour permettre aux jeunes bacheliers d’en bénéficier.

Quelle formation pour décrocher une licence en écologie ?

Il existe plusieurs types de formations permettant de décrocher une licence en écologie. Nombreux sont les établissements qui proposent diverses spécialisations sanctionnées par ce diplôme. Il existe, par exemple, la formation axée sur la biodiversité et la gestion spécialisée des espaces naturels, notamment en gestion des écosystèmes terrestres et aquatiques et en protection de faune et de flore.

Il existe aussi la licence pro EDEN (Étude et développement des Environnements Naturels) dont l’objectif est de dispenser aux étudiants une formation généraliste sur les sciences de la vie et de la terre. Si l’éducation à l’écologie vous tient à cœur, il y a également la licence pro MSEE ou « médiation scientifique et éducation à l’environnement ». Celle-ci vous permettra d’acquérir toutes les compétences nécessaires dans l’animation des actions d’information du public sur la protection de l’environnement.

Enfin, l’un des plus originaux parcours en écologie est la licence pro restauration écologique. Celle-ci vous permet de disposer des outils nécessaires pour équilibrer compétences scientifiques de protection de l’environnement et domaines tertiaires.

Licence en écologie : nombreux débouchés sur le marché du travail

L’un des plus grands facteurs d’attractivité d’une licence en écologie, c’est la multitude de débouchés qu’elle propose. Nombreux organismes, publics ou privés, recherchent actuellement des personnes qualifiées dans le domaine, et la demande ne cesse d’augmenter.

Plusieurs catégories de métiers débouchent de la licence en écologie : métiers de l’eau, métiers de la nature, métiers de l’agriculture durable, métiers de l’économie circulaire, etc. En fonction de la spécialisation que vous avez choisie, vous pouvez devenir chargé de projet, chargé de mission en urbanisme, animateur nature, gestionnaire de site naturel, technicien au niveau des collectivités territoriales, ou encore assistant ingénieur en espaces naturels.

Par ailleurs, ce niveau d’études vous permet déjà de lancer votre propre projet, qui pourra très facilement obtenir un financement des plus grands organismes de protection de l’environnement, s’il s’avère pertinent. Bref, une licence en écologie est le diplôme idéal si vous souhaitez vous épanouir professionnellement au plus vite, tout en apportant votre contribution à la préservation de la planète.

Quels sont les dangers ?

Il s’avère que les carburants ne sont pas le seul problème. Dans la pratique, il semble que chaque activité que nous menons laisse une empreinte plus ou moins grande sur l’écosystème. Nous éliminons des déchets, dont certains sont même toxiques et doivent subir un traitement sérieux avant de se retrouver dans l’environnement. L’industrie manufacturière moderne nous impose de plus en plus de déchets futurs, qu’un certain nombre d’usines dans le monde produisent chaque jour sous la forme d’emballages et de marchandises en mouvement rapide. Les matériaux non recyclables constituent un problème particulier, ils représentent un véritable défi. Les activités des entreprises dans des secteurs tels que l’énergie, l’agriculture, l’industrie et la construction ont également un impact direct sur le milieu environnant. En outre, l’énergie et le transport, c’est-à-dire le carburant, sont nécessaires à presque toutes les activités, ce qui complique encore la situation. Tout cela fait naitre la nécessité de penser à l’avenir et de résoudre nos problèmes de la manière la plus durable possible.

Quelles sont les mesures que nous pouvons prendre ?

La gestion environnementale est le plus souvent réalisée selon un modèle appelé « cycle de Deming ». Il s’agit d’une approche populaire qui se compose de quatre phases, à savoir la planification, la mise en œuvre, la vérification et l’action. Il s’agit d’un moyen facile et efficace de réaliser des améliorations. Les systèmes d’éco-gestion font partie des systèmes de gestion de l’entreprise et impliquent la planification, la structuration, l’attribution des responsabilités, les ressources et la mise en œuvre des procédures, pratiques et processus de sécurité environnementale de l’entreprise.

Agissez sur votre logement

Par exemple, pourquoi ne pas préférer les douches aux bains, et mieux vous couvrir au lieu d’augmenter la température de votre chambre ? Vous pouvez aussi changer vos ampoules et opter pour les modèles à basse consommation. Avez-vous la possibilité de renforcer l’isolation de votre maison ? Ce serait l’idéal pour que vos factures énergétiques diminuent de façon considérable. Peut-être devriez-vous envisager le remplacement de vos fenêtres, de faire des travaux d’isolation dans vos combles, et de mettre un insert à la place de votre cheminée ouverte. Et si vous devez changer de logement, n’oubliez pas que les immeubles sont de loin plus écologiques que les maisons individuelles. Le fait est que dans un habitat collectif, les ressources consommées sont mutualisées. Ou sinon, optez pour une petite maison, non loin du centre-ville et des transports en commun, ce qui vous éviterait de prendre la voiture à chaque sortie.

Ecolo jusque dans votre alimentation !

Dans le domaine de l’alimentation, que devez-vous faire pour être plus écolo ? Car souvenez-vous que l’alimentation arrive en troisième position en tant qu’émettrice de gaz à effet de serre en France. Plus de 20 % de nos émissions polluantes proviennent de ce que nous mangeons et les premiers sur la liste, ce sont les produits laitiers d’abord et la viande ensuite. Donc, réduisez votre consommation dans ces produits, d’ailleurs, les études montrent que les Français mangent trop de produits laitiers, ce qui peut être dangereux en raison d’un excès de calcium. Remplacez-les par davantage de fruits et légumes. Côté viande, consommez moins de viande rouge, surtout la viande de bœuf et d’agneau. Préférez-leur des légumineuses et des céréales.

Choisir un Smartphone Fairphone

Il n’y a pas encore de Smartphone écologique, mais il y en a un de presque : le Fairphone. Ce téléphone est doté de composants les moins nocifs possibles. Ses composants ont été sélectionnés pour impacter le moins l’environnement. Il se répare facilement lorsqu’un composant est en panne. Cette initiative est fortement soutenue actuellement pour préserver l’environnement. Malheureusement, très peu l’ont encore adopté puisqu’il ne fonctionne pas sous Android.

Ne changez pas de téléphone, mettez-le à jour !

Pour contribuer à préserver l’environnement, ne changez pas régulièrement de téléphone. Les fabricants commercialisent systématiquement de nouveaux modèles de téléphone pour vous faire bénéficier de nouvelles applications, de nouveaux logiciels et de nouveaux styles. Malheureusement, il est impossible de mettre à jour ou mettre à niveau son téléphone qui ne date que de 18 mois seulement. Il faut absolument s’acheter le dernier modèle pour suivre la tendance. C’est qui est le cas pour les Iphone puisqu’Apple ne propose jamais de mis à jour pour les anciens modèles. Mieux vaut vous tourner vers le système Android. Google propose la plupart du temps des mis à jour son son Open Source. Le cas échéant, vous pouvez toujours utiliser un système d’exploitation firmware alternatif pour installer la dernière version d’Android sur votre téléphone. Vous n’êtes plus obligé de changer de téléphone.

Achetez un téléphone presque neuf

Si vous devez vraiment acheter un autre téléphone, ne prenez pas les derniers modèles des fabricants. Misez sur les Smartphones reconditionnés qui sont nettoyés et remis à neuf. Ils ont été vérifiés par des professionnels et bénéficient d’une garantie de 6 mois. Ceci limite le nombre croissant de téléphones mobiles utilisés à travers le monde et contribue à préserver la planète. Ce processus réduit massivement le poids des déchets liés aux Smartphones et la fabrication de nouveaux téléphones.

Un engagement pour traduire les paroles en acte

C’est bien connu, la majorité des sociétés industrielles actuelles se disent écolos. Pourtant, la réalité est tout autre. Le secteur industriel reste toujours le plus actif en ce qui concerne la destruction du milieu naturel. Selon le secrétaire général des Nations Unies, lors de la réunion de haut niveau du Caring for climate, « il est temps de traduire les paroles en acte ». D’ailleurs, dans cette perspective, le secteur privé a un rôle primordial. Selon lui, cette nouvelle façon de voir devrait inciter les entreprises à se fixer de nouveaux défis afin d’atteindre les objectifs fixés par l’Agenda 2030 sur le climat et le développement durable.

Objectifs de développement durable, comment les entreprises s’y prennent-elles ?

Les paroles ne suffisent pas. Il faut des débuts d’actes. Actuellement, les entreprises du secteur privé tentent d’allier leurs activités avec le développement durable. Pour cela, ils n’hésitent pas à adopter les gestes écologiques les plus simples. Parmi les entreprises ayant pris conscience de l’importance de la préservation de l’environnement figure VBS Hobby, une entreprise spécialisée dans la fourniture de matériel de décoration et de bricolage. A côté de cette entreprise, d’autres sociétés ont aussi œuvré pour le respect de l’environnement et le développement durable. L’industrie automobile se distingue par la mise en place de la technologie AdBlue qui a pour effet de réduire considérablement l’émission d’oxyde d’azote dans l’atmosphère.
Afin de soutenir les entreprises privées dans leurs engagements, le Global compact des Nations Unies vient de créer une plateforme stratégique qui a pour but d’inciter les entreprises à intensifier leur action en faveur de l’environnement.

Le bois naturel en parquet ou en plancher

Le bois est un revêtement écologique qui peut parfaitement être installé dans votre espace extérieur. Vous pouvez le choisir dans le rayon des pins ou des chênes. Lors de son installation, il est important d’apporter une attention plus particulière à la nature des colles, des huiles et des cires. Comparé aux autres revêtements extérieurs, le bois est moins résistant à l’humidité et pour ceci, il faudra lui apporte le maximum d’entretien. Toutefois, vous pouvez privilégier des essences qui sont plus résistantes comme le liège et le bambou. Sur le marché, vous pouvez également trouver des revêtements en lames composites qui sont fabriqués avec des fibres de bois et d’autres matières.

Les sols minéraux

Les sols minéraux sont très esthétiques et ont la particularité d’offrir une grande inertie thermique. Si vous habitez dans une région où il fait un peu froid, ce revêtement est conseillé. Il est également très résistant aux rayons UV et ne change pas au fil du temps. Les sols minéraux ne demandent pas d’entretien particulier, mais leur pose reste complexe et nécessite l’intervention de professionnel.

Qu’est ce que c’est ?

La chaudière est dotée d’une chambre de combustion où l’énergie utilisée, formée par les granulés de bois, est disposée. Le principe de fonctionnement est semblable à celui d’une chaudière fonctionnant au gaz ou au fioul. La chaleur est distribuée dans toute l’habitation grâce au circuit de chauffage central. Et la chaudière est reliée à un silo de stockage grâce à un dispositif de vis. Il est possible d’en programmer le débit et de choisir la température répondant aux besoins de tous les utilisateurs. L’entretien de ce type d’appareil est simple, il suffit de procéder à la vidange des cendres de manière régulière. Une fois par semaine ou deux fois, c’est largement suffisant mais il faut tout de même tenir compte de la taille du cendrier.

Quels avantages ?

Ce type de chauffage est à la fois économique et écologique. Economique puisqu’il permet de réduire votre facture de chauffage par deux. Et écologique puisque l’énergie utilisée a pe d’impact sur l’environnement. En ce qui concerne l’installation de la chaudière, elle est simple et rapide.
Les granulés de bois, appelés aussi pellets, constituent une énergie moins chère, utilisée pour le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire également. On l’obtient grâce à l’industrie forestière, il s’agit en effet de résidus et de déchets issus de la réalisation de découpe, de traitement du bois, etc. Ils se présentent en petits morceaux, comme leur nom l’indique en granulés de bois. En général, ils ont une forme cylindrique, plus ils sont secs, plus ils sont meilleurs pour la combustion.